sommet européen des droits des fumeurs

Article du Sunday express (01/02/2009) Pat Nurse

'THE FIRST intimational antiprohibition conference was held in Brussels last week where people from around the world came to register opposition to smoking bans and other moves to control our lifestyles.

Smokers are leading the fightback against the puritans they believe havemade them social outcasts.They feel they must raise the issue before the overweight and those who like a tipple find themselves subject to the same social exclusion.

This conference was concerned with choice, the right to control your own body and why it is dangerous to give that essential freedom to the State.

I expected tobacco executives and coughing and spluttering delegates but I found a healthy group of British workingclass people in despair. They believe Big Government, aided by Big Business and Big Charity, is taking control of their lives and making them miserable.

They intended to meet in the European Parliament building in Brussels but because af an objection from a smoke-free organisation the event was banned, leaving organisers the International Coalition Against Prohibition having to find an alternative venue just days before delegates were due to arrive.

Furious host Godfrey Bloom, the UK Independence Party MEP, told delegates it was disgraceful that freedom of speech could be infringed by an unelected organisation with no interest in debate.Ironically a later tour of the EU building ended with smokers gathering in his office. MEPs can smoke at work and there are places for smokers in the building.Bizarrely, it would seem that smoking is permitted in the centre of European democracy but talking about it is not.
"That is because there is one rule for me and other MEPs and another for the rest of you," said Bloom. "The EU is
democracy by A la carte menu but you simply calnnot pick and choose' which parts you support and which you don't."

There were scurrilous allegations that delegates were somehow funded or supported by the tobacco industry, a
claim that didn't go down well with the pensioners, shop assistants, bar staff, plumbers and factory workers who paid for the trip out of their own pockets because they are seriously disturbed at the danger of the march of prohibition.

Just as Twenties' prohibition in the US led to an increase in alcohol intake, it would seem the puritanical stance on smoking in public that led to the smoking ban has led to a rise in the number of people taking up the habit.
Big Tobacco has no interest in the plight of consumers. Smoking bans are very good for business.

During the conference I didn't hear one word about promoting smoking. Indeed there was a discussion about what could be done to turn young people away from it.Dr John Luik, joint author of Diet Nation:Exposing The Obesity Crusade, said perhaps a more persuasive message to reduce youth smoking would be: "Warning:
your parents think smoking is cool."

The alleged scientific evidence used to justify smoking bans was put into context and author Christopher Snowdon discussed the funding of charities such as ASH, the
BrltishHeartFbundation,CancerResear& UK and the WHO. Serious questions must be asked about the impartiality of any organisations that receive funds from pharmaceutical companies.

British pensioner Barry Connaughton told ofhis efforts to turn the tide of hatred awayfrom smokers. From his limited funds he has pinted leaflets and walked ay after day ina bid to spread the message that
smoking bans are killing pubs and workingmen'clubs and isolating people who don'tdeserve to be excluded in this way.

University of Amsterdam Psychophysiologist D Jan Snel explained howsmoking bans can damage mental health,
cause depression and lead to suicide.Economist Barrie Craven told of thedevastation in the hospitality industry. Hesaid smoking bans discriminated againstthe working class because traditional
meeting places such as bingo hallsworking men's clubs faced huge culls.

Prohibitionists are now moving on toattack those who drink alcohol and thasecalled clinically obese. It was the passivesmoking argument thatled to the smokingban. We now hear of passive drinkingand
lately, from America, passive obesity.

ARYETTA ABLES from theUS said this latest concept
was quickly gaining credence."They say peoplewho have an obese friend
are more likely to becomeobese themselves as a result."I am a smoker, I have smoked for years and acknowledge that it can damage health but like millions of others I resent the growing power ofthe prohibitionists.

I have no-problem with prohibitingsmoking in public spaces but it is the waythe ban is enforced that worries me.
This conference was the first sign thatordinary people are demanding an end tostate bullying. British delegates weremostly former Labour supporters who feelabandoned by the party. They and 12 million British smokers are looking at who deserves their votes at the next election.

Meanwhile, they were delighted to find smoking allowed in most places in Brussels, which treated them warmly, welcomed them inside and gave them an opportunity to have a great time socially for the first time since July 1, 2007.

Je dois dire que pour la première fois de ma vie j’ai eu honte d’être Française.
Ici en Angleterre je suis la Française « rude » (Impolie car j’écrie et dit ce que je pense donc je suis habituée à être critiquée)
Pour moi la France a toujours était le pays des droits de l’homme, pays ou la liberté d’expression avait une valeur, Pays ou les hommes et femmes savait encore analyser et ce lever contre l’injustice évidente. Mes grands parents sont devenus Français pour ces raisons.
A Bruxelles j’y étais avec ma fille (14ans pour qu’elle comprenne le lavage de Cerveau qui s’opère dans les écoles…etc), J’y ai rencontré Christine, Grande Dame, et Française de surcroît, elle a discuté avec un autre français venu pour son commerce celui des cabines pour fumeurs (Moi J’appel cela des ghettos pour 3 ou 4 personnes)…. Mai aucun autre Français…
Cela donne a réfléchir ! Vous pouvez me répondre :
-Manque d’argent ; mais moi je vois dirais que j’ai vu des Anglais ou écossais qui ont emprunté de l’argent pour payer un billet d’avion ou de train ainsi que l’hôtel pour être présents.
- Distance ; J’ai vu des gens venir du canada des Etats-Unis dont le Minnesota Pour 4 jours avec les décalages horaires….etc
- Le Langage : J’ai entendu parler toutes les langues, des Suédois, Danois, Espagnole, Italien, Suisse, Allemand, Hollandais…etc
- Le travail ; Touts les participants avaient pris des jours de congés pour assister a cette conférence car pour eux le combat est suffisamment important… etc
Et vous touts de France qu’elles sont vos excuses ?
La France est pourtant le pays de Simone Weil, Gisèle Halimi, de Sartre, Simone de Beauvoir, de Voltaire….et combien d’autresssssss
Je Paraphraserais Le Professeur Molimard qui lui-même « paraphrase Voltaire, "je serais prêt à mourir pour votre droit à le faire". En fait, je tempèrerais la formule en évoquant Georges Brassens: "Mourir pour des idées…d'accord, mais de mort lente".

Pour répondre à Frédérique, on peut inventer toute sorte d'excuses. Si on veut se battre, on peut faire des sacrifices, je suis d'accord.
Mais pour faire bref, la véritable raison qui fait que je ne me bats presque pas pour nos libertés est que je suis le seul dans mon entourage à espérer encore une modification du décret. Je n'ai pas envie ni la force et le courage de me battre seul. J'aimerais que les politiques se battent, je saurais pour qui voter. Ce n'est pas le cas. En France, si on ne dit pas du mal du tabac, on doit se taire. Parler et se battre pour nos libertés sont des combats d'arrière garde. (Ce qu'avait répondu le Maire de Chalons à M. Galante)

Les français sont comme ça, ils ralent mais ne font pas grand chose pour améliorer les choses. Je travaille dans un collège, les parents souhaitent tout savoir du fonctionnement, ils critiques tout le temps. Mais dès qu'il y a une réunion pour faire des projets et exposer des idées, il n'y a jamais personne.
Les canadiens et les britaniques ont des interdits depuis plus longtemps que nous. Espérons que ce ras le bol anti-anti-tabac se propage. C'est ma façon de me battre, j'expose souvent à mon entourage, quand je peux, les messages de ce forum, notament sur les mensonges qui sont faits. C'est déjà ça.

Monsieur B

Je comprend votre découragement à vous battre mais les anti-tabagistes y comptent justement. Ils bombardent les médias avec des communiqués de presse qui sont conçus justement d'une façon à vous faire croire que tout le monde est d'accord avec cette loi et que c'est la meilleure chose qui a pu être inventée depuis le bouton à 4 trous !

Il n'en est rien. La majorité des fumeurs et amants de libertés sont loin d'être d'accord avec ces lois répressives. Ce sont les anti-fumeurs bien financés qui sont la minorité mais qui monopolisent (lire achètent) les médias. Le citoyen ordinaire en général serait très content avec des lois modérées c.a.d. comme en Espagne où tout le monde trouve pour son compte non-fumeur intolérant et fumeur également.

Nous n'avons pas tous la capacité et le loisir de nous battre activement sur le front. Cependant il y a plusieurs autres façons de se battre et tout le monde peut trouver le temps de le faire au moins une fois par semaine. C'est en s'exprimant sans honte et culpabilité. De s'assumer en tant que fumeur qui refuse d'être ainsi intimidé pour cesser de fumer et ceci tant que le tabac est une substance légale !

1) Participer aux lignes ouvertes des radios, télévision communautaire et autre télévision.
2) Se tenir à l'affût des informations afin de pouvoir plaider sa cause intélligement.
3) Écrire aux médias sur une base régulière. Les médias doivent être inondés de lettres de citoyens mécontents. Ils peuvent ignorer une ou deux personnes, mais ne peuvent ignorer éternellement une centaine de lettres par semaine.
4) Écrire, téléphoner ou rencontrer en personne son député.
5) Inciter amis et parents d'en faire autant.

Ne pas faire du bruit équivaut à l'acceptation sans condition.

Iro Cyr
www.cagecanada.blogspot.com

Il y a aussi que nous ne sommes pas organisés. A part ce forum il n'y a pas d'organisation française pro-fumeur.

Autre hypothèse, les intellectuels qui nous ont lâchés, faux rebelles et abonnés à la célébrité médiatique. Peut-être les media anglo-saxon sont-ils plus objectifs ?

Peut-être sommes nous considérés comme socialement inférieurs.

Peut-être que nous sommes las de tous ces interdits et des bien pensants qui nous marginalisent.

Moi, une association pro-fumeurs je suis pour.

Discours du Pr. Robert Molimard lu par une déléguée de C.A.G.E. lors de la conférence de Bruxelles ‘’Forbidden to Think’’.
http://cagecanada.blogspot.com/2009/01/discours-du-pr-molimard-speech.html
Autre discours
h« Le mouvement anti-tabac »
Présenté à la conférence TICAP,
The International Coalition Against Prohibition
Bruxelles, 27 Janvier 2009
par Christopher Snowdon
Traduit en Fracais part M. Luc Dussart. www.unairneuf.org
Bonjour. Je suis ici aujourd'hui pour vous parler du mouvement anti-tabac
actuel. Plus précisément, je vais parler de sordides affaires d'argent et comment
des escouades de non-fumeurs se mobilisant pour une campagne plutôt
inoffensive ont muté en une entreprise très puissante se consacrant à
l'éradication du tabac.
Il n'y a quasiment pas de bénévoles dans le mouvement de lutte contre le
tabagisme et pourtant il continue à avoir l'apparence d'un lutte citoyenne. Il
donne l'apparence d'être dirigé par des bénévoles. Il donne l'apparence d'être
financé par la générosité du public. Et cela fonctionne en sa faveur. Les gens
sont naturellement plus enclin à soutenir un groupe bénévole ou un organisme
caritatif que de soutenir des hommes politiques ou une industrie.
Mais en réalité le financement provient et de l'État, et de « bienfaisance », et de
l'industrie pharmaceutique. Ces sources de financement sont si étroitement
imbriquées qu'il est parfois difficile de voir où commence l'une et où se termine
l'autre. L'industrie pharmaceutique finance les organismes de bienfaisance. Les
organismes de bienfaisance sont souvent mis en place et financés par des
subventions publiques. Et le gouvernement est influencé par les organismes
dits de bienfaisance.
Rien de tout cela ne doit être un problème. Je n'ai pas de problème avec les
organisations de bienfaisance rémunérant les personnes qui travaillent pour
elles et chacun a le droit de gagner sa vie. Personne ne vous oblige à donner à
un organisme de bienfaisance que vous n'aimez pas. Le problème survient
quand vous n'avez pas de choix de donner parce que vous y êtes contraint par
vos impôts. Le problème survient quand vous arrivez à la situation étrange
d'organismes de bienfaisance subventionnés par l'argent public influençant le
gouvernement pour quelque chose qu'il a déjà décidé de faire. Et le problème
survient quand les fabricants de nicotine pharmaceutique inondent de millions
de dollars des groupes dont l'objectif principal est d'éliminer du marché les
fabricants traditionnels de la nicotine.
Il est peut-être un peu tard cet après-midi pour une leçon d'histoire mais je dois
vous raconter les origines de la lutte contre le tabac. Des groupes anti-tabac
sont apparus en réalité tout au long de l'histoire, en général conduits par de
petites bandes de volontaires opérant avec des budgets réduits.
Il y en avait une multitude à la fin du 19e et du début du 20ème siècle. Il
s'agissait de groupes agitant des panneaux, émettant des pétitions et se
réunissant dans une arrière salle de presbytère. Ils ont complètement disparu
après la Seconde Guerre mondiale et ont commencé à réapparaître au début
des années 70.
Le plus important d'entre eux était appelé GASP - Group Against Smoking
Pollution (Ligue contre la pollution du tabagisme) - et était tout à fait
représentatif des anciens agitateurs de panneaux. GASP a été fondé par Clara
Gouin, une femme au foyer écologiste du Maryland. Elle a créé l'association
avec quelques amis de son église locale pour une cotisation de 1 $ par an.
GASP a commencé par demander l'interdiction locale du tabagisme en public
et pour cela a distribué des badges, placardé des affiches, envoyé des
courriers aux hommes politiques et publié des brochures. De nouvelles
sections de GASP sont nées dans les années 70 dans le même esprit, d'abord
sur la côte Ouest, ensuite sur la côte Est puis dans toute l'Amérique et le
Canada. GASP vociférait bien mais restait encore une petite organisation. Ainsi
à la fin des années 1980, un ancien membre du GASP avertissait toute
personne envisageant de former un nouveau groupe anti-tabac : « Ne vous
attendez pas à des foules de vos réunions. Peut-être cinq à dix personnes tout
au plus. »

Mais deux événements sont survenus à la fin du 20e siècle qui ont transformé
la croissance et le destin du mouvement anti-tabac en gestation. Tout d'abord, il
a commencé à recevoir de très grandes quantités d'argent de l'État. Ensuite il a
reçu de l'argent des firmes pharmaceutiques. Ce qui était un petit mouvement
de terrain pour les droits des non-fumeurs est devenu ainsi une vaste
entreprise de lutte contre le tabac.
Comme cela est souvent le cas, le changement a commencé en Californie. En
1988, une campagne menée par Americans for Nonsmokers Rights et le GASP
a abouti à l'adoption de la Proposition 99. Les taxes sur les cigarettes furent
augmentées mais le véritable fait d'armes fut d'obtenir l'engagement de l'État de
Californie de consacrer 20% des taxes perçues à des projets de lutte contre le
tabagisme.
Prop 99 a créé un puits de richesse presque sans fond - environ 500 millions
de dollars par an - pour les organisations anti-tabac de Californie et les
serviables activistes bénévoles furent bien placés pour occuper des emplois à
temps plein dans la lutte antitabac ou bien recevoir des émoluments lucratifs
pour la recherche sur le tabagisme.
La même chose s'est reproduite à une beaucoup plus grande échelle dix ans
plus tard lorsque l'industrie américaine du tabac a conclu un compromis avec le
gouvernement américain à hauteur de 246 milliards de dollars. Cette manne a
complètement retourné la capacité financière du mouvement anti-tabac.
De nouvelles organisations anti-tabac ont été créées dans tout les États-Unis,
des millions de dollars furent alloués à des chercheurs pour étudier tous les
aspects de la lutte contre le tabagisme et les activistes anti-tabac se sont
retrouvés avec plus d'argent qu'ils ne savaient en dépenser.
Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Le miracle survint quand lorsque les fabricants
de nicotine pharmaceutique ont commencé à s'impliquer. Le patch de nicotine
a été développé au début des années 1980, fabriqué par Pfizer et initialement
commercialisé sous la marque Nicotrol par Johnson & Johnson.
Le fondateur de Johnson & Johnson était le général Robert Wood Johnson. Il
est décédé en 1968 laissant un héritage de 1,2 milliard de dollars destiné de
bonnes oeuvres sous l'égide de la Fondation Robert Wood Johnson. À ce jour,
la fondation reçoit la majeure partie de ses revenus de Johnson & Johnson.
Elle possède actuellement près de 40 millions d'actions dans J & J pour une
valorisation de plus de 3 milliards de dollars. Ce qui est bon pour Johnson &
Johnson est bon pour la fondation Johnson et vice-versa. Et quoi de mieux pour
un vendeur de nicotine pharmaceutique que les interdictions de fumer, la
diabolisation de l'industrie du tabac et l'augmentation du prix des cigarettes ?
C'est en 1991 que la vente de timbres de nicotine sur la prescription fut
autorisée et la même année la fondation Johnson a commencé à financer des
projets anti-tabac. Depuis, elle a alloué $ 450 millions à des projets de lutte
contre le tabagisme, y compris 84 millions de dollars pour le Centre for
Tobacco-Free Kids, 10 millions de dollars à une campagne visant à augmenter
le prix des cigarettes et $ 99 millions à la Smokeless States initiative.
Les seuls fournisseurs alternatifs de "médicaments de substitution de la
nicotine" sont Pfizer et GlaxoSmithKline. Alors que les activités de la Robert
Wood Johnson Foundation sont essentiellement concentrées aux USA, Glaxo
et Pfizer sont plus intéressés à faire de la lutte contre le tabac un business
vraiment mondial. À la fin des années 1990, Glaxo comme Pfizer sont devenus
des membres à part entière de l'Initiative sans tabac de l'Organisation Mondiale
de la Santé (OMS). Les deux entreprises ont contribué au financement de la
conférence Pour une Europe sans Fumée et ils ont en partie financé l'Institute
for Global Tobacco Control. Au Royaume-Uni, elles financent la Roy Castle
Foundation.
Lors de la 11e Conférence mondiale sur le tabac qui s'est tenue à Chicago en
2000, la fondation Johnson à versé 4 millions de dollars pour être l'un des
hôtes partenaires et Glaxo a été un sponsor de la manifestation. La Fondation
Pfizer a récemment fait don de 33 millions de dollars à un panel d'organisations
anti-tabac, dont la nouvelle ASH International. Ainsi de suite : pas besoin d'être
grand clerc pour imaginer les motifs d'une telle générosité extraordinaire. Dès
1999, Nicorette et Nicoderm totalisaient un chiffre d'affaire de 570 millions de
dollars par an. En 2007, Champix atteignait à lui seul 883 millions de $.
Bien qu'énormes, ces sommes sont de la roupie de sansonnet si le reste du
monde adoptait les politiques anti-tabac que l'on connait en Amérique et en
Europe. En étant cynique, vous pourriez penser que les intérêts des activistes
de lutte contre le tabac et des firmes pharmaceutiques ne seraient pas
optimisés par la prohibition. Les anti-tabac seraient bien vite réduits au
chômage et passées quelques années il n'y aurait plus besoin de timbres de
nicotine ou de gommes censées aider au sevrage tabagique. Et en étant très
cynique, on pourrait dire qu'un scénario idéal pour les deux groupes intéressés
serait celui dans lequel la nicotine a été extraite des cigarettes en laissant à
l'industrie pharmaceutique le monopole de la vente légale de nicotine. Les
gens seraient libres de fumer mais ils devraient acheter des produits labélisés
pharmaceutiques pour se procurer de la nicotine. Curieusement, c'est
exactement ce scénario qui est promu par les anti-tabac.
En 2005, le journal phare de la lutte contre le tabagisme Tobacco Control a
publié un article intitulé "Vers une politique à long terme pour la nicotine" [1].
Cela est un des rares exemples de formulation de l'objectif final du mouvement.
À court terme, selon les auteurs « Le besoin immédiat est d'inclure toutes les
formes de nicotine dans un système réglementé. » ("The immediate need is to
capture all nicotine into a regulatory system"). Cela permettrait au
gouvernement de réduire les niveaux de nicotine dans les cigarettes, jusqu'à
zéro, et c'est exactement ce que le Centre for Tobacco-Free Kids demande
actuellement au gouvernement américain. Les auteurs ajoutent ensuite que la
nicotine pharmaceutique devrait être disponible à "prix réduit" et "dans plus de
points de vente, y compris des distributeurs automatiques."
Ensuite "la disponibilité de tabac doit devenir de moins en moins facile" jusqu'à
ce que la nicotine pharmaceutique remplace le tabac comme "la source
dominante de la drogue" ("the dominant source of the drug"). Et les auteurs
poursuivent : « La disponibilité facile de nicotine purifiée permettrait aussi aux
fumeurs dépendants qui n'obtiennent pas leur dose de nicotine des cigarettes
dénicotinisées de compléter leur prise. »
Une telle politique rendrait les géants pharmaceutiques seuls pourvoyeurs de
nicotine. Les fumeurs pourraient toujours acheter des cigarettes et nuire à leur
santé en fumant, continuer à financer l'industrie de la prévention du tabagisme
par le biais de taxes sur les cigarettes tout en remplissant les poches de
l'industrie pharmaceutique.
En passant, je voudrais vous dire quel est l'objectif à long terme. Vous ne serez
pas surpris. Il est, bien sûr: "l'élimination virtuelle de l'usage du tabac comme il
est actuellement consommé."
C'est ce que la coalition de la lutte contre le tabagisme et de l'industrie
pharmaceutique espèrent être en mesure d'accomplir ensemble et ils ont
certainement les moyens économiques de se battre pour çà. Alors, où mènent
ces amoncellements de moyens pour les groupes anti-tabac de base ? La
réponse est : nulle part. Le mouvement anti-tabac s'affirme toujours comme
David contre Goliath, mais si cela a pu être une image dans le passé, ce n'est
certainement plus valable aujourd'hui.
Dans les années 1980, l'industrie du tabac aurait créé des groupes de pression
pour combattre les propositions des anti-tabac. La création d'associations
écrans d'activistes appelée "astro-turfing" [2] est maintenant devenue une
pratique standard du mouvement anti-tabac.
Par exemple, quand un projet de loi visant à interdire le tabac dans les lieux
publics a été soumise au vote au Texas, l'American Cancer Society a fabriqué
non pas une mais deux soi-disant "associations" se prétendant "la voix des
citoyens". En Grande-Bretagne, des groupes de lutte contre le tabagisme
comme D-MYST et SmokeFree Action sont entièrement financés par le
ministère de la Santé. La branche anglaise de ASH (Action for Smoking or
Health) a été créée par le gouvernement et tire actuellement moins de 3% de
son financement par des dons de particuliers. Il n'y a pas de bénévoles. ASH au
pays de Galles et en Écosse n'en ont pas non plus, tous deux étant très
largement financé sur fonds publics avec des aides supplémentaires provenant
de la Fondation Pfizer. Les anciens activistes des années 70 ne sont
certainement plus désargentés.
Le GASP britannique n'est même plus un organisme de bienfaisance. Cela fait
belle lurette qu'il est devenu une société à responsabilité limitée, et fait
maintenant son beurre en vendant ses signalétiques "Interdit de fumer" et
d'autres accessoires anti-tabac. James Repace a depuis longtemps quitté l'EPA
et maintenant se débrouille très bien en tant que consultant indépendant
"spécialiste du tabagisme passif". Lui et Stanton Glantz ont été personnellement
gratifiés de 300.000 $ en tant que lauréats de la Fondation Robert Wood
Johnson's Innovators Awards. Simon Chapman, qui a été un membre éminent
du groupe d'activistes BUGA-UP des années 70, est devenu l'éditeur de la
revue Tobacco Control. John Banzhaf continue toucher un salaire de 200.000 $
en tant que directeur de l'ASH tout en poursuivant les restaurants pour
engraissement de leurs clientèle.
Tandis que le mouvement anti-tabac croule sous l'argent, la plupart des
groupes qui s'opposent à eux - dont beaucoup de groupes ici aujourd'hui - ne
reçoivent pas un sou de l'industrie du tabac et n'en ont jamais touché. La vérité
toute nue est que les seuls bénévoles engagés sur le terrain du tabagisme
aujourd'hui sont ceux qui défendent les droits des fumeurs. Oui, c'est un combat
de David contre Goliath, mais ce ne sont pas les anti-tabac qui tiennent la
fronde et les pierres.

Pour conclure je dois dire que je ne parle pas du financement de la lutte antitabac
parce que je crois qu'une cause est plus noble quand elle est seulement
animée par des bénévoles non rémunérés, ou parce que je crois que les firmes
ne devraient pas être autorisées à financer des études ou magouiller en
politique. Je dis tout cela seulement pour souligner le fait qu'il existe une
malhonnêteté fondamentale sur la manière dont la lutte contre le tabagisme
opère en 2009.
Vous pouvez constater avec quelque ironie que les partisans de la guerre
contre les fumeurs utilisent les mêmes tactiques utilisées avec efficacité par
leurs anciens ennemis de l'industrie tabagière dans le passé. Aujourd'hui, ce
sont les anti-tabac qui utilisent des groupes de pression. Ce sont eux qui
tordent les statistiques et pervertissent la science à leurs propres fins. Et ce sont
eux, et non pas les gens dans cette salle, qui bénéficient de centaines de
millions de dollars de la part de l'une des industries les plus puissantes au
monde.
Le financement est important, car il n'y a pas que le lobbying : il permet la
recherche scientifique.
- La recherche qui montre que l'interdiction de fumer ne fait pas du tort aux
entreprises ;
- La recherche qui montre que l'interdiction de fumer réduire le risque de crise
cardiaque ;
- La recherche qui montre que le tabagisme résiduel [3] est mortel.
Cette recherche a sans doute plus d'effet sur le processus politique que le
lobbying en fait.
Dans un monde idéal, toutes les recherches scientifiques serait totalement
impartiales, financées par des organisations qui n'ont aucun intérêt autre que la
recherche de la vérité. Bien sûr, nous savons que ce n'est jamais le cas. Nous
acceptons le fait que si une société, un gouvernement ou un groupe de
pression finance une recherche, c'est parce qu'il y trouvera un avantage
financier ou une raison idéologique de le faire.
Je ne suggère pas que les fabricants de dérivés à la nicotine soient empêchés
de financer des recherches. Je ne suis pas en faveur l'interdire à l'industrie du
tabac pour cette même raison. Je ne suis pas favorable à interdire à une
industrie ou à un gouvernement de financer quoi que ce soit, tant que c'est fait
de manière transparente ("in an open manner"). Et c'est ce manque de
transparence qui me soucie, tant dans la manière dont la science est utilisée
que dans la façon dont la campagne en faveur de la législation anti-tabac est
menée.
L'utilisation de groupes de pression, l'absence de comptes sociaux clairs,
l'exploitation biaisée endémique de statistiques, etc. : ces pratiques
malhonnêtes sont désormais solidement ancrées dans le mouvement antitabac
et je voudrais faire juste deux petites suggestions pour y injecter un peu
d'honnêteté.
Tout d'abord, les revues médicales et les médias doivent prendre en compte le
fait que la Fondation Robert Wood Johnson possède des dizaines de millions
d'actions de l'un des plus grands industriels de nicotine pharmaceutique et que
cela constitue un conflit d'intérêt évident concernant le financement de groupes
dont les activités sont susceptibles de conduire à une utilisation accrue de ces
produits.
De même, le financement de projets anti-tabac par Pfizer et Glaxo devrait être
traité avec le même scepticisme qu'ils traitent un financement de Philip Morris
ou de British American Tobacco. Je dis cela non pas en vue de l'interdiction
l'implication de ces entreprises mais afin rendre les démarches politique et
scientifique plus transparentes.
Ma seconde suggestion est que les gouvernements cessent tout simplement de
financer les organismes de bienfaisance. Les oeuvres de bienfaisance véritable
n'ont pas besoin de financement de l'État. En finançant de faux organismes de
bienfaisance dans le but de faciliter un consensus, les gouvernements
dégradent la notion même d'oeuvre de bienfaisance.
Toute oeuvre de bienfaisance qui accepte le financement de l'État en est
dépendant et tout organisme de bienfaisance institué par l'Etat n'est rien d'autre
qu'un bras armé du gouvernement. La pierre angulaire d'une oeuvre caritative
est d'être basée sur le volontariat. Elle ne devrait solliciter aucune aide
publique.
Si l'État a cessait de financer ces organismes de lutte contre le tabagisme, les
gens resteraient toujours libres de faire des dons et si, comme les partisans de
la lutte anti-tabac le proclament avec insistance, ils sont populaires, ils auraient
sûrement les moyens de réaliser leurs projets et de se développer.
L'Etat, quant à lui, resterait libre de conduire des campagnes nationales de lutte
contre le tabagisme, avec ses propres services et budgets pour le faire. Cela ne
changerait pas forcément grand chose, ce serait - répétons-le - une source de
transparence et d'honnêteté.
Car la menace est bien réelle, et les événements de vendredi dernier nous ont
donné un excellent exemple de ce qui se passe lorsque le pouvoir est
concentré dans les mains de si peu de personnes [4]. Smokefree Partnership,
qui a exercé des pressions pour interdire cette conférence, est aussi éloigné
d'une oeuvre de bienfaisance que possible et les gouvernements ne peuvent
devenir plus grand que toute l'UE. Vendredi dernier, le gouvernement et les soidisant
associations caritatives ont uni leurs forces.
Que l'UE soit le repère de la corruption financière est de notoriété publique.
Son comportement la semaine dernière nous a rappelé qu'elle est aussi
corrompue moralement. Elle est fondamentalement antidémocratique ; elle
s'oppose instinctivement à la liberté d'expression ; elle est effrayée par la seule
idée d'un débat ouvert.
J'ai essayé aujourd'hui d'illustrer que le mouvement anti-tabac est dirigé par
des bureaucrates grassement payés, des hommes politiques, des lobbyistes et
des idéologues de l'extrémisme. Non seulement ils ont perdu le contact avec la
réalité mais en outre ils se croient intouchables. Ils peuvent agir comme ils
l'entendent sans rendre de compte à personne d'autre qu'eux-mêmes. Si vous
aviez quelque doute à ce sujet, le fait d'être assis dans cette salle et non dans
les locaux du Parlement Européen comme prévu devrait vous ouvrir
définitivement les yeux.
Christopher Snowdon
Velvet Glove Iron Fist - A History of Anti-Smoking
http://www.velvetgloveironfist.com/index.php?page_id=1
Notes du traducteur
Gray et al. Tobacco Control 2005;14:161-165 ; Toward a comprehensive long
term nicotine policy ;
http://tobaccocontrol.bmj.com/cgi/content/abstract/14/3/161
Maquillage de mouvement spontané de la base ; jeu de mots avec 'grass-roots',
Astroturf étant de l'herbe synthétique http://en.wikipedia.org/wiki/Astroturfing
Tabagisme résiduel : voir Dépôt de patascience résiduelle dans la lutte antitabac
http://unairneuf.blogs.psychologies.com/billets/2009/01/anti-tabac.html
Des groupes de pression dont le CNCT français ont réussi à interdire l'accès
aux locaux du Parlement Européen quelques jours avant la tenue de la
conférence internationale ; elle fut organisée dans un hôtel voisin grâce à l'aide
du parti Libéral du Royaume Uni. Détails ici. http://www.epha.org/a/3376
Le mouvement anti-tabacttp://cagecanada.blogspot.com/2009/01/discours-du-pr-molimard-speech.html

Le post de Frederique nous donne la traduction française de l'intervention de Christoph Snowdon pendant la conference.
Pour info il a écrit :Velvet glove, Iron fist A history of anti smoking et a un site très complet que je vous recommande vivement www.velvetgloveironfist.com

(je sais c'est encore en anglais mais ça vaut vraiment la peine)

Conference report

The conference was a complete success. While we were informed before-hand that it is typical that only 5 or 6 people actually show up for such "dull and boring" events as scientific speeches, there were about 100 participants from all over the world who witnessed the debunking of the anti-smoking ideology and their pseudo-scientific frauds.

Dr. Barrie Craven (UK) presented the harm done to the various venues of the hospitality sector due to smoking bans; Dr. Jan Snel (NL) spoke about the positive effects of smoking and the problems caused by depriving smokers of their enjoyment.

The serious issues surrounding the dangerous anti-smoking drugs, such as Chantix/Champix, were also discussed.

Dr. John Luik (CDN) suggested fighting the methods used by both the government and non government organizations when promoting prohibition on the grounds of its untruthful methods and its well-known failures.

Godfrey Bloom MEP and Nigel Farage MEP (UKIP), from IN/DEM promised to continue to resist against prohibitionist tendencies in the EU.

Dr. Gio B. Gori (USA) - connected via video from Washington, D.C. - explained the passive smoking myth in great detail and so everyone could understand; Christopher Snowdon (UK) revealed the Big Pharma funding of major anti-smoking organizations.

Statements from Prof. Rein Vos (NL) and Prof. Robert Molimard (F), who could not attend, were read and they warned against extreme nannyist tendencies within the public health industries.

The participants from various TICAP member organizations, the hospitality sector, and other political as well business organizations enjoyed the conference very much, many of them also took part in the entertainment night at an Irish Pub in Brussels where they could - and did - smoke and drink to their heart's content.

Pour lire la suite et voir les photos des intervenants:http://www.anti-prohibition.org/ticap_pages.php?q=12

Si on parle pas anglais, on est dans la mouise ...

je sais mais la plupart des nouvelles viennent de l'étranger et sont très souvent en anglais.
Mais je vais faire un effort pour mettre les traductions au loins des passages les plus importants.

Je souhaite la bienvenue à Iro et vous signale son site très complet et bilingue (il y a notamment des articles en français sur la conference de TICAP): www.cagecanada.blogspot.com

A suivre:

TICAP is proud to present our 2nd World Conference:

Monday 15th March 2010

Venue: Nieuwspoort - The Hague, The Netherlands


http://www.antiprohibition.org/ticap_pages.php?q=15

TICAP is proud to present our 2nd World Conference:


Are Guests Welcome? Prohibition and the Hospitality Industry

A Celebration of the Life and Work of Gian Turci

Monday 15th March 2010

Venue: Nieuwspoort - The Hague, The Netherlands


Supported by FORCES Netherlands, Red De Kleine Horeca-Ondernemer and Rokersbelangen.



Speakers include:

Dr Kamal Chaouachi, tobacco researcher and consultant (University of Paris)
Dr. Rein Vos, professor theory of health sciences (University of Maastricht)
Dr. Michael Marlow, professor of economics (California Polytechnic State University, San Luis Obispo)
Dr Patrick Basham, director of the Democracy Institute (Washington/London) and adjunct scholar at the Cato Institute (Washington)
Brian Monteith, former Member of the Scottish Parliament, author of "The Bully State: The End of Tolerance"
David Goerlitz, actor, former "Winston Man", former tobacco control frontman (USA)


J'ajoute, parce que l'idée est née pendant la 1ere conderence de TICAP, la déclaration de Bruxelles -www.brusselsdeclaration.org - sur l'intégrité et l'éthique scientifique (alcool, obésité, tabagisme passif etc) signé par plusieurs scientifiques dont le professeur Molimard:

Scientists Promote Launch of The Brussels Declaration on Scientific Integrity

Leading scientists from across the globe are supporting the launch of The Brussels Declaration on Scientific Integrity, strongly upholding professional and scientific ethics above financial and political gain or personal ideology.

The Declaration is a Statement of Principles calling for the return to the Scientific Method as the guiding qualifier for the definition of a study as scientific. It centres around epidemiology and toxicology and covers topics such as alcohol, obesity and passive smoking.

John Gray of The International Coalition Against Prohibition (TICAP) states, “The Brussels Declaration was initiated during the successful TICAP Conference of January 2009 . It will pave the way for the return to the robustness and reliability of scientific integrity that is essential for the credibility of scientific institutions and general advancement of humanity.”

Endorsement is now being sought from international politicians, community leaders, academics, writers, journalists and non-governmental organisations.

This comprehensive document demands the setting of exacting standards for gathering data in epidemiological studies, the mandatory specification of margins of error, and the rejection of expert opinions based on studies that do not fulfil these criteria.

It demands the restoration of the concept of risk threshold, and calls for the rejection by governments and regulatory bodies of any scientific work that does not meet those standards.

It condemns the use of unqualified studies as the basis for public policy and prohibition and calls for the dismantling of policies and regulations that are based on such studies.

In addition to the conclusions of scientific studies, it also calls upon official institutions and the media to accurately report the limitations and uncertainties of those conclusions in respect of the public's right to complete, accurate information that does not lead to unnecessary apprehension or panic.

“As the effects of the Manhattan Declaration begin to be felt at both the political and public opinion levels,” continues John Gray, “so will that of the Brussels Declaration when it comes to scientific integrity in the area of lifestyle prohibitions.”

http://brusselsdeclaration.org/pages/press/

(traduction à venir)

Pauvre alexandra,

C'est triste à dire pour vous, mais vos informations bidons n'intéressent plus personne.

Heureux de voire que ça bouge toujours!!! La route va être longue, mais comme dans tous les cycles, l'hygiénisme ambiant va retomber. Pour cela, ces conférences sont vitales.
Merci Alexandra de toujours nous donner des nouvelles toujours aussi intéréssantes. Et même si l'activité du forum baisse, je remarque qu'il y a toujours un nombre important de visiteurs invités. Preuve que le sujet du decret interesse encore beaucoup.

Monsieur B. a écrit:Heureux de voire que ça bouge toujours!!! La route va être longue, mais comme dans tous les cycles, l'hygiénisme ambiant va retomber. Pour cela, ces conférences sont vitales.
Merci Alexandra de toujours nous donner des nouvelles toujours aussi intéréssantes. Et même si l'activité du forum baisse, je remarque qu'il y a toujours un nombre important de visiteurs invités. Preuve que le sujet du decret interesse encore beaucoup.

J’ai rédigé le commentaire d’hier concernant la pauvre alexandra car je savais bien qu’un pingouin comme vous ou johnny se sentirait obligé de répondre qu’elle intéresse énormément de monde avec ses écrits indigents. Vous êtes tous si prévisibles que cela m’amuse de le vérifier et en général je ne suis pas déçu.

Nonobstant ce que vous affirmiez récemment, vous lisez bien mes commentaires, même vous n’y répondez pas directement. Votre dernier commentaire en est la preuve.
Selon vous, de nombreux visiteurs invités visitent le forum : Ah bon ? Le record de connexions simultanées est de 16 et il date d’un bon moment. Ce nombre, en regard des 64 millions d’habitants en France, ne pèse vraiment pas lourd, sauf pour vous. Manifestement, vous êtes aussi doué en mathématiques qu’en français.

Il faut vous rendre à l’évidence, les commentaires des alexandra et autres Johnny n’intéressent plus grand monde car ils tournent en rond et sont dénués de toute légitimité. Mais si leurs commentaires stériles peuvent aider des pauvres types comme vous ou Craven à vivre, je suis pour qu’ils continuent, d’autant qu’ils m’amusent quand j’ai un peu de temps à perdre.

Dîtes-nous, petit hatat: de quelle légitimité "y" détenez-vous pour "y" décréter que les propos d'Alexandra "y" en sont dépourvus ? Je crains fort qu'une fois de plus, vous "y" ignoriez la signification des mots que vous "y" employez...

Bonne "y" semaine, pauvre titi

pour rester dans la note des constructions de phrases hatatesques - aussi déficientes que leur auteur - j'aurais dû mettre le premier "de" entre guillemets aussi.
J'apprécie bien le "nonobstant" du pauvre hatat, grand pourfendeur de tous les maniérismes.
Quant à son usage des termes "indigents", "tournent en rond" ou "doué en français", il illustre bien, à nouveau, le niveau de pensée de notre fantaisiste et de ses amis: "c'est celui qui le dit qui l'est..."

sir john a écrit:Dîtes-nous, petit hatat: de quelle légitimité "y" détenez-vous pour "y" décréter que les propos d'Alexandra "y" en sont dépourvus ? Je crains fort qu'une fois de plus, vous "y" ignoriez la signification des mots que vous "y" employez...

Bonne "y" semaine, pauvre titi

Cela faisait un petit moment que je n’avais pas visité ce forum, essentiellement par lassitude face aux inepties continuelles et aux discours stériles, en particulier ceux d’alexandra, Monsieur B. et sir john.

Je vois que rien n’a changé. Cela s’est même aggravé. Sir john est devenu le meilleur troll du forum, ce crétin répondant à toutes les provocations de Thierry Hatat. Il en arrive même à lire scrupuleusement tous ses commentaires pour relever le moindre oubli ou faute de frappe : attention Thierry, dans ton dernier commentaire, tu as oublié le mot "si" dans la phrase "même si vous n’y répondez pas" et ce couillon n’a pas compris ta phrase. Il ferait mieux de donner des cours particuliers de français à l’autre neuneu de Monsieur B., qui, en plus de nous gratifier de commentaires tous plus dénués d’intérêt les uns que les uns autres, nous abreuve de fautes d’orthographe gratinées. Et bizarrement, le gros sir john ne relève jamais rien. C’est dire si il est crédible dans ses attaques vis-à-vis de Thierry.

Nous allons fêter bientôt le deuxième anniversaire du merveilleux décret qui a enfin libéré la France du joug des fumeurs égoïstes, et à ce titre, je vous souhaite à tous, de merveilleuses fêtes de fin d’année.

Je reviendrai sur le forum le premier jour de l’hiver car j’en aurai une bonne à vous raconter sur un crétin qui va rire « johne ». Inutile de vous ruer sur votre clavier, gros john, c'est un calembour, je sais bien qu'on écrit "jaune", contrairement à Monsieur B. le simplet.

P.S. : Thierry, je peux déjà te certifier que le gros sir john va encore "troller" pour notre plus grand bonheur. Il est tellement demeuré qu’il en devient un cas d’école : il arrive à être plus troll que le troll.

titi étant en perdition, le nauséabond toto ressort de son bocal. J’apprécie beaucoup leurs petits mots d’encouragement mutuel, malheureusement trop rares, mais tellement réjouissants dans le dérisoire.
Pour la 87ème fois, je ne relève les fautes de français que des cuistres dans votre genre, qui font la leçon sans en avoir les moyens.
Pour le reste, le petit trollbeau pérez pousse la débilité jusqu’à annoncer son prochain vol à tire-d’aile. Navré de contribuer à votre désappointement chronique, toto, mais vos rodomontades n’impressionnent que vous-même. Et encore…

sir john a écrit:Pour la 87ème fois, je ne relève les fautes de français que des cuistres dans votre genre, qui font la leçon sans en avoir les moyens.

Je crois que c'est la 86e fois seulement.