Baisse des infarctus

Christopher Snowdon fait le bilan de la baisse des infarctus au UK.

2006/2007:68 312
2007/2008:66 933

soit une baisse de 2%. Elle était de 2,8 pour 06/07 et de 3,8 pour 05/06.
D'ou une très faible incidence de l'interdiction de fumer sur les infarctus (le meme phénomène a été constaté pour l'Ecosse)

L'intégralité sur http://www.velvetgloveironfist.com/england_heart_attacks_smoking_ban.php

La meme chose vient d'etre constaté aux US. L'université du Wisconsin et l'université de Stanford viennent de publier la première étude qui examine les relations entre les interdictions de fumer et la mortalité et les admissions pour infarctus sur l'intégralité du territoire américain.
Leur conclusion "Nous avons trouvé que les interdictions de fumer ne sont pas liés à un déclin significatif de la mortalité ou des admissions pour infarctus"

www.tobaccoanalysis.blogspot.com

Cette fois-ci l'étude vient du Danemark (http://sst.dk/publ/Publ2009/CFF/Rygning/Evalueringrygelov.pdf, pour ceux qui parlent le danois).Elle porte sur l'ensemble des hopitaux du pays et sur les 5 années qui ont précédé l'interdiction de fumer et les 18 mois après son entrée en vigueur.Elle conclue qu'il n'y a pas d'effet visible de l'interdiction de fumer sur les admissions pour infarctus.

Comme le souligne Michael Siegel c'est à peu près la meme chose pour le UK, l'Ecosse et le pays de Galles.

Une étude publiée par les Université du Wisconsin et de Stanford en avril 2009 conclue elle qu'il n'y a pas de déclin significatif.
A noter que la semaine dernière l'IOM (Institute of Medecine Committee - USA) a rendu public un rapport selon lequel les interdiction de fumer reduisent les risques d'infarctus liés au tabagisme passif. Les médias se sont jetés dessus comme la misère sur le monde et l'ont largement diffusé y compris l'AFP. Sauf que, comme d'habitude, ils n'ont repris que ce qui les arrangeaient.Ils n'ont surtout pas repris le passage dans lequel il est expliqué que le comité ne peut absolument pas quantifier ce risque: "However, because of the weaknesses discussed above and the variability among the studies, the committee has little confidence in the magnitude of the effects and, therefore, thought it inappropriate to attempt to estimate an effect size from such disparate designs and measures".Déjà le "le comité a peu de certitude sur la magnitude de ces effets" est difficile à avaler mais le "il pense que c'est inapproprié d'essayer d'estimer l'ampleur de cet effet" est à s'étrangler.

http://tobaccoanalysis.blogspot.com/

Christopher snowdon a examiné les chiffres pour l'Australie et indique sur son bloc qu'à l'exception d'un etat (- 1.5 %) l'interdiction de fumer n'a eu aucune incidence sur les admissions pour infarctus. Au contraire dans tous les etats sauf un les admissions ont augmenté.

http://velvetgloveironfist.blogspot.com/2009/10/no-heart-miracle-in-any-australian.html

Idem pour la nouvelle Zélande. Selon une étude publiée (Edwards R, et al. After the smoke has cleared: evaluation of the impact of a new national smoke-free law in New Zealand. Tobacco Control 2008; 17:e2), portant sur les 7 ans précédant l'interdiction de fumer et 1 an suivant l'interdiction de fumer dans les lieux publics : "il n'y a pas de preuve solide que les admissions pour infarctus ont baissé dans les 12 mois qui ont suivi l'interdiction de fumer".("There was therefore no clear evidence that the hospitalisation rate for these health outcomes reduced in the first 12 months after implementation of the SEAA [Smoke-free Environments Amendment Act].")


http://tobaccoanalysis.blogspot.com/

Ca continue: une étude publiée par le journal européen d'épidémiologie portant sur la Toscane conclu que l'interdiction de fumer en Italie n'a pas d'effet significatif sur le nombre d'infarctus.

http://tobaccoanalysis.blogspot.com/2010/01/published-study-finds-no-effect-of.html

De son coté, Christopher Snowdon constate que c'est la même chose pour l'Angleterre deux ans après l'interdiction de fumer (2007):baisse de 3.84% et 3.79% avant l'interdiction, 3.75% and 2.61% après.

http://velvetgloveironfist.blogspot.com/

ET même chez nous:


"La loi antitabac ne fait pas chuter le nombre d'infarctus

Sandrine Cabut
14/01/2010 En France, la cigarette est interdite depuis le 1er janvier 2008 dans les cafés et les restaurants. Les résultats sont beaucoup moins spectaculaires en France que chez certains de nos voisins européens.

Dans des pays comme les États-Unis, l'Italie ou l'Écosse, l'interdiction de fumer dans les lieux publics a entraîné rapidement une diminution significative du nombre d'infarctus du myocarde, de l'ordre de 10 à 17 %. En France, les effets de la loi antitabac sur les accidents cardiaques sont beaucoup moins spectaculaires, selon une vaste étude dont les résultats ont été dévoilés jeudi aux 20es Journées européennes de la Société française de cardiologie, à Paris.

«Depuis 2003, les hospitalisations pour infarctus ont diminué régulièrement en France, mais il n'y a pas eu de cassure nette en 2007 et 2008 (dates d'application des derniers décrets, NDLR), a précisé le Pr Daniel Thomas (hôpital Pitié-Salpêtrière, Paris) en présentant ses données. Certes, ces résultats sont décevants, mais ils ne doivent pas discréditer l'application de la loi. Les effets du tabagisme passif sur les vaisseaux ont été largement démontrés.»

Les conclusions de l'enquête présentée jeudi, baptisée Évincor (évaluation de l'impact de l'interdiction de fumer sur les syndromes coronaires aigus), étaient très attendues par la communauté scientifique. En France, l'interdiction de la cigarette a été appliquée à partir du 1er février 2007 dans les principaux lieux publics (entreprises, administrations, établissements scolaires…), et au 1er janvier 2008 dans les lieux de convivialité (cafés, hôtels, restaurants, discothèques, casinos). Moins de deux mois après cette dernière mesure pour protéger les non-fumeurs, une enquête préliminaire montrait que le nombre d'infarctus dans les services d'urgence avait déjà chuté de 15 %. Les spécialistes restaient toutefois prudents vis-à-vis de cette bonne nouvelle, faute de recul.

Le Pr Daniel Thomas et Fabienne Seguret (Montpellier) ont analysé les cas d'infarctus et autres syndromes coronariens aigus hospitalisés entre juin 2003 et juin 2009, en interrogeant la base de données hospitalière PMSI (programme de médicalisation des systèmes d'information). Au total, plus de 820 000 infarctus ont ainsi été recensés, mois par mois, pendant ces six ans.

Sans surprise, pendant cette longue période, les auteurs ont retrouvé un moindre nombre d'infarctus pendant l'été. Mais ce qu'ils ont surtout constaté, en lissant les variations saisonnières, c'est une baisse constante des infarctus : 11 200 par mois en 2003, 10 000 par mois en 2009. En rapportant à la population, ces chiffres correspondent à un taux de nouveaux cas de 287 sur 100 000 habitants en 2003, et de 230 sur 100 000 en 2009.


Législation en plusieurs temps

Deux conclusions s'imposent donc à la lecture de la courbe : la baisse des infarctus s'est amorcée bien avant les interdictions de 2007 et 2008, et ces dernières n'ont pas eu d'effets nets sur le nombre d'admissions à l'hôpital. Pour le Pr Thomas, ce constat un peu décevant peut s'expliquer par plusieurs facteurs. D'abord, contrairement aux autres pays, qui ont appliqué la loi antitabac en une fois, la France a adopté une législation en plusieurs temps. La loi Evin (qui date de 1991) était ainsi appliquée dans certaines entreprises bien avant le décret de 2007, note Daniel Thomas. Ensuite, il est difficile de comparer des pays où les expositions au tabagisme passif sont bien différentes. «En Écosse, avant la loi antitabac, 23,7 % des patients hospitalisés pour infarctus étaient exposés au tabagisme passif dans les bars, ce taux est passé à 2,6 % après la loi, indique-t-il. En France, la proportion n'était que de 3 % avant la loi, et elle est désormais de 2 %.»

La méthodologie de l'étude Évincor doit être affinée, et d'autres données (régionales par exemple) sont nécessaires, admet le Pr Thomas, mais, selon lui, ses conclusions ne devraient pas remettre en cause les bienfaits de l'interdiction de fumer dans les lieux publics. «Le vrai problème, c'est que la consommation de tabac ne diminue pas en France. C'est navrant quand on voit la place que ce facteur occupe dans les cancers et les maladies cardio-vasculaires», conclut-il."

Pour une fois un article honnête dans le Fig. A noter quand même, le chiffre absurde de baisse des infarctus dans d'autres pays de 10 à 17%.

http://www.lefigaro.fr/sante/2010/01/15/01004-20100115ARTFIG00012-la-loi-antitabacne-fait-pas-chuter-le-nombre-d-infarctus-.php

Donc on apprend que c'est pour 3 ridicules % d'infarctus passés à 2 qu'on nous a supprimé la clope dans les bistrots. J'essaye d'ailleurs toujours de comprendre comment on peut qualifier un "fumeur passif".

Alexandra va bien nous trouver l'article d'hier dans le JDD qui nous apprend que 2000 "LDC" on disparu l'année dernière dans la seule "Ile de France". Je n'arrive même pas à croire à ce chiffre et je me méfie des médias mais si cela était exact ce serait bien pire que prévu.

Parmi les erreurs commises par les bistrotiers mises en exergue il y aurait le fait qu'il ne vendent pas de "coca light" (si,si, c'est écrit dans l'article). On imagine bien sûr tout le potentiel de clientèle que représente le convivial et joyeux buveur de Coca light.

Les bars pourraient faire aussi "bureau de poste" ! C'est une sacrée idée originale.

Je n'ai pas trouvé l'article, il ne figure peut être que sur la version papier par contre je suis tombée sur cet article de Ouest France

"Les bistrots du coin ne veulent pas mourir
samedi 16 janvier 2010

Ils étaient 200 000 en 1960. Ils sont moins de 30 000 aujourd'hui. Le café-tabac de village, le bistrot du coin, sont-ils condamnés ? Discussion, hier, au Sénat.
D'une boutade, un sénateur résume les difficultés de ces bistrots où les hommes politiques tenaient, jadis, tribune le dimanche. « Autrefois, on y allait toujours après la messe. Aujourd'hui, qui va encore à la messe ? Aux bistrots, il ne leur reste que les mariages et les enterrements. »

Le café d'antan hante les mémoires sénatoriales. Le Corrézien Bernard Reynal, créateur de la fédération des « bistrots de pays », décrit l'enjeu : « Traditionnellement, dans nos villages, il y avait trois centres d'animation. Le curé. L'instituteur. Le café. Il n'en reste qu'un. » Le bistrot, morceau d'identité nationale, est à sauver.

Un « grenelledes limonadiers » ?

Beaucoup de lamentations, évidemment, contre ces lois de santé publique qui sauvent des vies, mais tuent à petit feu nos tavernes. « Plus le droit de boire son petit coup, plus de cigarettes... On nous ruine. » Les cafés auraient perdu 12 % de leur chiffre d'affaires en 2009. Mais certains patrons l'admettent volontiers, le café, dans l'imaginaire d'aujourd'hui, a perdu de sa convivialité, de sa chaleur. Il est vu comme un lieu de « mauvaise vie », analyse le sociologue Michel Maffesioli. « Il doit redevenir cet endroit où l'on aimait se rassembler. »

Facile à dire, mais les villages se dépeuplent et la jeunesse plébiscite les cybercafés, les cocas et les burgers. Bernard Quartier l'admet. Il a présidé la fédération des cafés : « Nous nous sommes laissés envahir par l'alcool et le tabac. » Un élu lui a ouvert les yeux. « J'adore prendre mon petit noir au coin de ton zinc, mais le mercredi, avec mes petits-enfants, pas question que j'entre chez toi ! »

Mea culpa du bistrotier. Les cafés ne se sont pas assez modernisés, ouverts aux jeunes, à la famille, à wifi, à Internet. Ils sont restés années cinquante. « Le café ne doit plus être simplement le lieu où on va boire un coup. » Conseil de Maffesioli : réinventez le café du commerce, « le lieu où l'on s'échange des idées, des biens et les derniers cancans. »

Reynal le Corrézien a inscrit dans la charte des bistrots de pays (ils sont 200), l'obligation de jouer les animateurs culturels. Bals, concerts, expos... Il défend aussi l'idée du bistrot comme dernier service public de nos villages. « L'État, pour cela, doit nous soutenir. » Et puisque la mode est aux rassemblements type « Grenelle », l'idée d'un « Grenelle des limonadiers » a été lancée. Le bistrot nouveau se réinvente"

http://www.ouest-france.fr/actu/politique_detail_-Les-bistrots-du-coin-ne-veulent-pas-mourir-_3635-1228458_actu.Htm

Il ne parle pas du coca light mais d'absence de wifi et d'internet. Dans ces conditions je ne regrette absolument pas de ne plus mettre les pieds dans les cafés.

Moi non plus!! C'est sur, on interdit la clope pour que les gens reviennent. Mais les non-fumeurs ne viennent pas, alors maintenant, on déconseille la vente d'alcool, et on incite, en plus du wifi, la vente de soda.
Ca porte pas un nom ce type d'endroits? Ca s'appelle un snack ou un fast-food. Les mac-do, ils vendent du coca light, ils proposent le wi-fi, non? Il faut donc que tous les bars se transforment en mac-do si ils veulent survivre?!
Pauvre France, cela aurait été si simple de faire cohabiter les deux..... Mais on est plus idiot que les élus semble t-il...

Et pour prolonger la suite des exemples, même si celui-ci est limité à ce que dit le dissident de Genève. Voici les conclusions en Toscane.

Une étude publiée par le European Journal of Epidemiology arrive à la conclusion que l'interdiction de fumer dans les lieux publics en Italie, introduite en 2005, n'avait pas d'effet discernable sur le nombre d'infarctus du myocarde en Toscane.

Les auteurs de l'étude comparaient le nombre d'infarctus en Toscane (population de 3,6 millions, 13'456 de cas) dans les cinq années avant l'interdiction avec celui de l'année après l'interdiction.


L'étude conclut:


Contrairement aux autres résultats publiés à ce jour, cette étude ne trouve aucun effet comparable de l'interdiction de fumer sur le nombre d'incidents cardiaques. L'estimation de l'effet d'une interdiction de fumer semble extrêmement sensible au choix du modèle d'évaluation et aux effets non contrôlables qui pourraient influer sur le nombre d'incidents, tels que l'existence d'autres facteurs de risque ou des changements de diagnostique. Un certain nombre d'arguments [...] indiquent que les effets plausibles pourraient être moins importants que suggéré par les rapports publiés à ce jour.

EDIT: J'ai oublié le lien:
http://www.lesdissidentsdegeneve.ch/index.php?option=com_content&view=article&id=377:pas-de-miracle-en-toscane&catid=1:nouvelles-quotidiennes

Le chiffre de 2000 disparitions en un an dans la seule région ïle de France m'a paru énorme.

Le wifi c'est fait pour ceux qui ne sont plus capables de parler avec leur voisins et qui croient avoir une vie "sociale" en "communiquant" avec des blaireaux comme eux à l'autre bout de la planète. Question hygiène il faut reconnaitre qu'ils ne risquent pas de choper un virus. Je ne vois pas trop ce qu'il peuvent apprécier dans un bistrot.

Et le lounge, quelle horreur...avec chaise-torture et écran-plat-BFM ou MCM.

alexandra a écrit:Je n'ai pas trouvé l'article, il ne figure peut être que sur la version papier par contre je suis tombée sur cet article de Ouest France

"Les bistrots du coin ne veulent pas mourir
samedi 16 janvier 2010

Ils étaient 200 000 en 1960. Ils sont moins de 30 000 aujourd'hui. Le café-tabac de village, le bistrot du coin, sont-ils condamnés ? Discussion, hier, au Sénat.
D'une boutade, un sénateur résume les difficultés de ces bistrots où les hommes politiques tenaient, jadis, tribune le dimanche. « Autrefois, on y allait toujours après la messe. Aujourd'hui, qui va encore à la messe ? Aux bistrots, il ne leur reste que les mariages et les enterrements. »

Le café d'antan hante les mémoires sénatoriales. Le Corrézien Bernard Reynal, créateur de la fédération des « bistrots de pays », décrit l'enjeu : « Traditionnellement, dans nos villages, il y avait trois centres d'animation. Le curé. L'instituteur. Le café. Il n'en reste qu'un. » Le bistrot, morceau d'identité nationale, est à sauver.

Un « grenelledes limonadiers » ?

Beaucoup de lamentations, évidemment, contre ces lois de santé publique qui sauvent des vies, mais tuent à petit feu nos tavernes. « Plus le droit de boire son petit coup, plus de cigarettes... On nous ruine. » Les cafés auraient perdu 12 % de leur chiffre d'affaires en 2009. Mais certains patrons l'admettent volontiers, le café, dans l'imaginaire d'aujourd'hui, a perdu de sa convivialité, de sa chaleur. Il est vu comme un lieu de « mauvaise vie », analyse le sociologue Michel Maffesioli. « Il doit redevenir cet endroit où l'on aimait se rassembler. »

Facile à dire, mais les villages se dépeuplent et la jeunesse plébiscite les cybercafés, les cocas et les burgers. Bernard Quartier l'admet. Il a présidé la fédération des cafés : « Nous nous sommes laissés envahir par l'alcool et le tabac. » Un élu lui a ouvert les yeux. « J'adore prendre mon petit noir au coin de ton zinc, mais le mercredi, avec mes petits-enfants, pas question que j'entre chez toi ! »

Mea culpa du bistrotier. Les cafés ne se sont pas assez modernisés, ouverts aux jeunes, à la famille, à wifi, à Internet. Ils sont restés années cinquante. « Le café ne doit plus être simplement le lieu où on va boire un coup. » Conseil de Maffesioli : réinventez le café du commerce, « le lieu où l'on s'échange des idées, des biens et les derniers cancans. »

Reynal le Corrézien a inscrit dans la charte des bistrots de pays (ils sont 200), l'obligation de jouer les animateurs culturels. Bals, concerts, expos... Il défend aussi l'idée du bistrot comme dernier service public de nos villages. « L'État, pour cela, doit nous soutenir. » Et puisque la mode est aux rassemblements type « Grenelle », l'idée d'un « Grenelle des limonadiers » a été lancée. Le bistrot nouveau se réinvente"

http://www.ouest-france.fr/actu/politique_detail_-Les-bistrots-du-coin-ne-veulent-pas-mourir-_3635-1228458_actu.Htm

Il ne parle pas du coca light mais d'absence de wifi et d'internet. Dans ces conditions je ne regrette absolument pas de ne plus mettre les pieds dans les cafés.

Bonjour a tous,

Je viens pas critiquer car chacun choisi sa vie comme il le sent et parfois pas le choix.
Mais au sujet de infarctus, il est vrai que le tabac n'est pas bon mais n'en est pas la cause d'origine,
tout comme le cancer des poumons n'ont plus, ceci l'aggrave tout comme peut l'être de nombreux produits toxiques.
Comme il vous parle de mort pour interdire de fumer dans les cafés, tout ceci ne sont que des arguments pour faire fermer les cafés,
sa fait près de 20ans que je vois les cafés ce fermer chacun leur tour et j'y vois moins de monde a par ceux bien situé.
Si l'état réussi, il supprimera le droit d'exploitation tout ce qui est liquide et fini les exploitants de café, tout comme les bureaux de tabacs qui essaye de résisté, vous verrai ça arrivera avec ceux des cafés, hélas.
Ouverture aux grosses sociétés comme macdonals, quick ou les petites enseignes des grands centre commercial comme carrefour, auchan, leclerc.. qui s'implante de plus en plus dans toutes les villes, bref, fini les petites gens qui pourront bien gagner leur vie comme avant, on les taxes et on voit bien que les cafés restaurants malgré la baisse de la taxe a 5,5%, ils s'en sort pas plus, faut pas oublier tout le reste qui doivent payer a l'année.

En tout cas, les infarctus comme d'autres maladies soit disant lier au tabac, ne sont pas la cause de tout ces morts comme il nous le font croire,
avec l'industrie pharmaceutique derrière, ils marchent main dans la main car l'industrie du tabac fabrique aussi leurs produits contre la dépendance du tabac.
Ils nous mentent depuis trop longtemps et les gouvernements ont laissé faire au nom de l'argent.

Je suis d'accord avec toi TNT et je pense que l'on est nombreux dans ce cas. Bien sur que respirer de la fumer ne peux pas être bon, pour les poumons, pour le coeur. Tout le problème, c'est à quel point? Apparement, risque indétéctable concernant les poumons et le tabagisme passif, et ici insignifiant concernant les maladies cardiaques. Alors pourquoi ces mensonges? D'autant que le but de ces politiques hygiénistes n'est pas de se limiter au tabac mais ensuite de s'attaquer à l'alcool, à la viande même(!) et à on se sait quoi encore. Tant que ces politiques permetterons à certains de s'enrichir, elle seront mises en valeur.
Car tu as raison, le nerf de la guerre, c'est encore et toujours l'argent. Et c'est pas les petits patrons de bars qui sont les plus puissants lobbyistes du moment en France et surtout dans le monde. Donc les puissants marchent, entre autres, dessus en prenant bien le temps de les écraser, si cela leur fait gagner de l'argent. Et tant pis des cultures locales et du bonheur des gens. Un type de lieux de convialité contrôlé par les plus grands, c'et mieux pour faire de l'argent. Plus de parts de marché.
Et c'est le même débat dans tous les pays! Mais j'ai peur qu'à chaque fois, David se fasse exploser la tête par Goliath. Avec les drames sociaux qui vont avec, comme en France, en Grande Bretagne ou même à Chypre où en ce moment, c'est la guerre sur ce sujet.

J'ai dit ceci mais j'espère me tromper pour les cafés, mais sa ressemble bien au bureau de tabac en les usant avec toutes ces restrictions qui s'accumule.
Les hygiénistes sont contrôler par le lobby pharmaceutique, tabac, alimentation et autres, sais tu qui sont les responsables ? qui les as mis a la tète de ces organisations ?
Exemple, que j'ai vu dans une des vidéo ici ça concerné 3 puissant société, une du pétrole, une banque qui est JP morgane et la 3ème pharmaceutique qui doit être pfizer si je me trompe pas,
eh bin 2 membres d'administrations venais déjà de l'une d'entre elle, en faite c'est les même personnes qui dirige a tour de rôle et pourtant qu'elle rapport il y a entre le pétrole et la médecine ou même la banque, simplement car ils sont franc maçon,
on vois déjà le tableau pour les autres et idem pour L'OMS, le FMI, l'OMC et tous le reste, pas un seul n'est pas dirigé par un franc maçon, strauss khan mis a la tête du FMI avec le soutien de sarkozy, vous êtes sur que sarkozy prône l'ouverture ?
ou bien l'ouverture des franc maçon qui contrôle presque tout les partis politique ?
la franc maçonnerie pour ceux du plus haut degré manipule le bas de ces francs maçons qui eux sont formé pour manipulé la population avec des belles histoires différentes, gauche ou droite, mais comme on regarde bien le monde, il est loin d'être beau comme on ouvre les yeux, ne pas oublié que la terre est belle mais que ceux qui la dirige ont de mauvaise intention depuis très longtemps, polluez le tabac, notre alimentation même dans l'eau il y mette du fluor qui détruit nos organismes au fur a mesure, en passant des produits dangereux dans les produits de beauté et le fameux BIO qui n'est pas entièrement sains a 100% comme il le marque sur les étiquettes, j'invente rien de tous ceci, tout a était prouvé et dénoncer par de grands spécialistes dans ces domaines mais qu'on voit très peu a la TV ou dans les journaux.
bon j'arrête la car ça pourrait prendre des heures a tout expliquer mais le mieux est de chercher par vous même et de faire votre avis

Continue alexandra de véhiculé l'info, le savoir est une arme mais le comprendre c'est détenir la vérité et en etre le relais
et merci pour cette échange Monsieur B

Une nouvelle étude réalisée au niveau nationale par la RAND Corporation, Center for Studying Health System Change, University of Wisconsin, and Stanford University conclu qu'il n'y a pas de preuve de l'effet des interdictions de fumer (au travail ou dans les LDC) sur la mortalité ou même sur les admissions hospitalières.
http://tobaccoanalysis.blogspot.com/2010/12/new-study-of-national-heart-attack.html

Par ailleurs Michael Siegel signale une hausse de 36% des admissions pour attaque cardiaque sur l'île de Man alors que l'interdiction de fumer est entrée en vigueur en mars 2008.
http://tobaccoanalysis.blogspot.com/